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Vous proposez qu’en matière d’environnement, la bonne foi présumée de l’agriculteur prévale à travers ce droit à l’erreur. Quelle est l’origine de votre réflexion ? L’origine, c’est tout ce que j’entends depuis des années sur le terrain de la part d’agriculteurs qui souffrent d’être suspectés en permanence sur ces questions environnementales et qui ont le sentiment d’avoir sans cesse l’épée (…)